We have made it past thanksgiving, fall reading week, and Welcome Week is but a faint memory. It is around this time of year that many of us begin to look at our bank accounts and see the money from our summer job(s) start to dwindle down. This is when we all start to wonder, “How am I going to make it through the rest of the year? How can I make this work?” November is Financial Literacy Month which raises the question, “Is it time we change how our education system views an issue that should have been changed decades ago?”
We live in a world where the majority of post-secondary students were never taught to understand pensions, mortgages of a home, car payments, or decisions made by the government that can directly affect personal finances. The recession of 2008 should have been a prime wakeup call to educators across North America. As parents lost their homes, families began to realize it was more evident that students must have some financial knowledge before their finish their education.
We cannot continue to live in a society where students and other young adults, still new to the financial world and its complexities, walk into financial institutions blindly and expect the employees to manage their money and assets. Do these young folk really know where their money is going and what it is doing? What about the repercussions and effects? The Ministry of Education of Ontario should find a way to specifically integrate real world number scenarios. This could be a great additive to an already existing course or, perhaps, a fantastic opportunity for a new course all together. The Ministry of Education currently allows individual school boards to determine where and when they integrate parts of financial literacy into their curriculum. The Secondary school curriculum has the ability to be reworked to integrate a financial literacy component into the Career Studies course taught in grade 10 across Ontario.
However, financial literacy could possibly be taught at a younger age than secondary school. Currently, Manitoba and British Columbia teach these mandatory classes in grade 11. When financial literacy is taught at this secondary level, it is said that financial awareness modifies the behaviour of the individual. But, if we brought in financial literacy to our elementary schools, financial awareness would not simply modify behaviour, but would play a role in the behavioural development, shaping young minds at an earlier age.
As post-secondary students, how do we move forward? Attending university has the potential to be one of the most stressful times in a person’s life, even more so if it is away from home. Don’t let your financial situation be a large contributor to that stress factor. There are endless possibilities for students, such as student discounts at local and chain retailers and even organizations and programs that help avoid bank fees, to name a few. Sometimes, all it takes is a bit of research, asking the right questions, or even just reading the right blog post. There are even ways you can save at home!
The biggest tip any finance manager will ever give you is to build a budget and stick to it! Understand how much you can spend and stay within that limit. There are many helpful resources online that can help any student understand and manage their money.
If we are to be expected to make good and sensible financial decisions at this point in our lives, why weren't we prepared for it? If this is the time for us to prep our monies for our future, why are we only learning how to do so during our present? Schools should implement a financial literacy learning plan to better prepare its students for what is yet come. Because isn't that what schools are for: to teach young individuals and prepare them for the real world?
Until next time…
Kraymr Grenke
OUSA Vice-President of Finance
President SGA/AGÉ Laurentian University
@Kraymr
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Déjà, la semaine d’accueil, la fin de semaine d’Action de grâce et la semaine d’étude ne sont que des doux souvenirs. C’est à peu près ce temps de l’année qu’on commence à fouiller dans nos poches et nos comptes bancaires, voyant à l’œil nu que notre argent gagné si péniblement durant l’été commence à disparaître. On commence donc à se demander : « Vais-je avoir assez d’argent ? » « Est-ce que mon argent peut se prolonger jusqu’à la fin de l’année ? » Le mois de novembre est aussi le mois de la littératie financière. Suivant ce thème, on vous propose les questions suivantes : N’est-il pas l’heure que nos systèmes scolaires changent leurs points de vue datés sur la sensibilisation financière et pourquoi est-ce que ces changements ne sont-ils pas déjà en effet ?
Nous vivons dans une société où que nos étudiants postsecondaires ne sachent rien concernant les pensions de retraite, les hypothèques, les paiements de voitures ou les décisions gouvernementales qui peuvent directement affecter les finances personnelles des individus. La crise économique nord-américaine de l’année 2008 aura dû ouvrir les yeux de tous et tous les éducateurs et les éducatrices ! Puisque plusieurs familles ont perdu leur maison, il est de plus en plus évident que les étudiants devraient se sensibiliser et se former sur la question des finances personnelles avant de compléter leurs études postsecondaires.
Fini sont les jours que nous pouvons nous permettre de vivre dans une société qui permet ses étudiants et autres jeunes adultes, encore tous nouveaux au monde financier et ses complexités et ses enjeux, à faire confiance aux institutions financières et leurs employés avec leurs argents sans poser des questions. Ces jeunes gens savent-ils où va l’argent et qu’est-ce qu’elle fait ? Quels seront les effets à long terme ? Le ministère de l’Éducation de l’Ontario devrait trouver des moyens pour intégrer obligatoirement des scénarios de vie réelle et des problèmes de monde concret dans l’éducation de ses élèves aux écoles secondaires. Soit qu’on l’ajoute à des classes déjà existantes, soit qu’on crée des classes entièrement nouvelles, la sensibilisation financière serait un ajout fantastique aux apprentissages des élèves. Le ministère de l’Éducation, à date, laisse à la discrétion de ses écoles si la sensibilisation financière est intégrée dans l’éducation secondaire de ses élèves. Mais, il est possible de modifier le curriculum du secondaire pour que la sensibilisation financière puisse être ajoutée aux classes d’orientation et formation au cheminement de carrière qui sont enseignées en 10e année en Ontario.
Actuellement, ces classes sont enseignées obligatoirement aux élèves en 11e année au Manitoba et en Colombie-Britannique. Par contre, la sensibilisation financière pourrait être enseignée à un âge plus tendre. Si on enseigne la sensibilisation financière aux élèves du secondaire, cette sensibilisation joue un rôle modificateur au comportement des individus. Mais, si la sensibilisation financière était apprise par les élèves des écoles élémentaires, ceci ne modifiera pas simplement le comportement des individus, mais influencera plutôt le développement comportemental des jeunes. Ceci pourra peut-être préparer les jeunes pour leur avenir ?
Comment peut-on, comme étudiants postsecondaires, s’y prendre ? Les études postsecondaires ont le potentiel d’être la cause d’un des plus grands stress qu’une personne subira lors de sa vie, spécialement si les études ont lieu hors de la ville natale. Ne laissez-vous pas faire prendre par ce piège : ne laisser pas votre situation fiscale être un stress qui s’ajoute à ce temps déjà stressant ! Les possibilités de rabais pour les étudiants sont innombrables, y compris des rabais à certains magasins et des programmes de financements qui évitent les frais bancaires ! Il faut simplement faire sa recherche, poser les bonnes questions et faire la lecture de bons articles de blogues. Vous pouvez même économiser de nombreuse façon à la maison !
Le conseil le plus important qu’un directeur financier vous donnera est le suivant : Créez-vous un budget et suivez-le! Sachez vos limites et respectez-les! Il existe plusieurs ressources à l’internet qui peuvent aider aux étudiants à comprendre et à gérer leur argent.
Si on s’entend de nous qu’on puisse prendre de bonnes décisions raisonnables face à nos finances aujourd’hui, pourquoi est-ce qu’on ne nous a pas montré comment s’y prendre hier? S’il faut nous préparer pour nos avenirs, pourquoi est-ce que nos vécus ne comprennent pas des formations adéquates pour assurer la solidité de ses préparations? Les écoles devraient intégrer un programme de sensibilisation financière pour mieux former leurs élèves face à leur avenir. Après tous, n’est-ce pas ça l’objet des écoles : préparer les élèves pour la vie réelle en dehors des quatre murs scolaires ?
À tantôt…
Kraymr Grenke
OUSA Vice-Président des Finances
Président de l’AGÉ/SGA de l’Université Laurentienne
@Kraymr